Dans la série des « travaux à finir », ce filet XXL en raphia, entièrement réalisé au crochet. Je suis tombée par hasard sur ce livre « Sacs et paniers au crochet » à la bibliothèque, avant confinement, et j’ai voulu tester un des modèles proposé avec du raphia couleur naturelle. Ce n’est pas extrêmement agréable à manipuler, mais le modèle est simple même pour les semi-débutantes comme moi. Ces jours-ci, il fait dans la déco à défaut de servir aux courses – réduites – mais je lui réserve de beaux jours cet été, quand nous pourrons à nouveau nous promener.
Catégorie : Couture / Tricot
Le body à paillettes
Entre deux blouses médicales, quelques dossiers de boulot et les devoirs à suivre des kids, il me reste heureusement un peu de temps pour coudre, même si la période nous permettrait de rester en pyjama toute la journée ! nan je blague, je déteste ça ! Ce coupon de double gaze pailletée, achetée chez Tissuspapi il y a quelques temps, était parfait pour coudre le body Lana de Make My Lemonade retrouvé dans un « vieux » Modes et Travaux. Toujours un peu trop ample pour moi, et ma micro poitrine, mais parfait avec une petite broche brodée de Macon&Lesquoy dans le décolleté. Le genre de vêtement aérien qui fait du bien
Chic et champêtre, la robe en Toile de Jouy
Rien de plus paradoxal que la Toile de Jouy : ce tissu est tellement classe avec ses scènes de la vie à la campagne ! Les motifs sont aussi variés que les histoires, et les coloris reconnaissables entre tous. Ce type de toile créé dans les ateliers de la manufacture fondée en 1760 par Christophe-Philippe Oberkampf dans la commune de Jouy-en-Josas (Yvelines) fait la renommée de cette ville dans laquelle j’ai vécu 20 ans, et j’aime toujours autant la retrouver au détour de vêtements ou encore d’objets de décoration. Gros coup de coeur pour ma boutique de tissus en ligne adorée, Tissus Papi, qui propose aujourd’hui un large choix de toiles, aux coloris et motifs variés. J’ai craqué sur ce joli rose pour confectionner une robe à Miss Joséphine, bientôt 4 ans, à partir du patron de la robe Jannike repérée dans le Maison Victor N°1 (janvier-février 2020). J’ai aussi acheté un énooooorme coupon de toile verte qui va devenir… robe, pantalon, combinaison, petit blouson ? Affaire à suivre, donc !
Le pull confetti
Finir l’année avec un pull tout doux et très chaud même si plein de troutrous, rien de plus satisfaisant ! Modèle trouvé chez Aurélie, de Une Poule à Petits Pas, laine chez Mespelotes et Kalidou, rupture de stock oblige en cours de route. Je dois tricoter d’une certaine manière – serrée ? – qui fait que j’ai manqué de laine alors même que j’avais fait mon échantillon – en bonne élève – et suivi à la lettre les instructions… bref, j’ai utilisé 6 pelotes au lieu des 4 recommandées… le mystère subsiste. Toujours est-il que j’ai découvert avec plaisir ce fameux « point confetti » qui donne cet ajouré si joli. Et que nouveau pull rentre haut la main dans la catégorie des pullssidoux qui donnent à mes enfants l’envie de me faire des câlins.
Tutti frutti
Des fruits crochetés pour la jolie Blanche, c’est le cadeau idéal pour terminer les petites pelotes et réaliser une dînette pleine de couleurs !
Noir sur blanc
L’avantage, avec les Minus, c’est qu’on peut leur faire un super cadeau avec trois fois rien : deux pelotes de belle laine, un peu de temps et un livre cartonné. Un gros bonnet – modèle Peace and Wool – et un grand classique – « Noir sur blanc », de la géniale Tana Hoban, qui joue sur les contrastes pour l’oeil du tout petit – c’est le combo idéal inside-out pour Léonard, le dernier des petits neveux.
Les lingettes démaquillantes
A l’heure du zéro déchet, difficile de passer à côté de ces « disques » – carrés – qui remplacent le coton. Ces petites lingettes si pratiques et si écologiques sont, en plus, réalisées à partir de chutes diverses : éponge en bambou et cotons divers, en ce qui me concerne. Et comme j’en ai des tonnes, de ces petits bouts qu’on garde en espérant que ça serve un jour… ça tombe bien ! Lise m’en a commandé 4 jeux : 2 fleuris et 2 graphiques. Les voilà, ces petits bouts de ça.
L’écharpe toute douce
Il y a des projets, pourtant faciles, qui restent sur les aiguilles et au fond du placard des années durant… C’est le cas de cette écharpe en laine toute douce, achetée il y a fort longtemps sur le site de Peace and Wool. Commencée mais jamais finie, pourtant fort utile et absolument pas difficile à terminer. Bref, j’ai emmené avec moi cet été ce travail à terminer, sur le plage, et je me réjouis, avec l’arrivée des jours gris et frais, de pouvoir l’enrouler autour de mon cou le matin !
J’attaque les jeux de lingettes pour Lise, un nouveau pull et un sweat pour ma nièce. De quoi disparaître encore d’ici quelques temps.
Le sweat Renards
Fan de renards depuis toujours, fan de sweats et de vêtements soit trop petits soit trop grands, Eneki a donc complètement craqué sur ce « sweat renards ». Un tissu ultra doux, acheté sur le site suisse Tissu&co, un patron ultra simple trouvé chez BG, sur le site Rascol, et trois petites soirées plus tard, la confection de ce pull a été relativement rapide et simple… même si ma machine Singer, vieille de presque 15 ans, a le minimum de fonctions, et donc pas de surfil. Un point zigzag a fait l’affaire. Et histoire de pleinement rentabiliser ce nouveau doudou (soyons clair, quitte à pouvoir lui piquer de temps en temps), j’ai fait une taille 14 ans au lieu des 12 requis. Au suivant !
Les tissus cirés
Je suis sans doute la dernière à avoir testé ! mais je voulais absolument essayer de faire ces tissus cirés qui remplacent le papier d’alu/étirable. Assez fastoche finalement – si ce n’est un fer à repasser pas mal abîmé – la technique requiert le coup de main et du bon sens ! On découpe quelques coupons de tissus en coton propres, qu’on pose sur un papier sulfurisé, puis on met dessus des billes de cire – bio de préférence – et pas trop – genre, comme sur la photo, parce qu’en fait quand ça fond, ça déborde de tous les côtés… On remet sur les billes de cire une feuille de papier sulfurisé, et on pose le fer bien chaud qui fait fondre tout ça. On étale un peu… et quand c’est bien fondu, on décolle vite le tissu pour le faire refroidir sur une grille. Ça jaunit et ça épaissit bien le tissu, évidemment. Avec cette forte odeur de cire. Et une fois refroidie, la feuille peut emballer n’importe quel aliment ! Un coup d’éponge suffit à nettoyer les traces éventuelles laissées par des aliments frais. La chaleur va faire fondre, donc pas d’eau chaude et encore moins de lave-linge. A vous de tester !