Hé oui, c’est comme ça que l’histoire a commencé. Ma grand-mère m’avait bien appris à tricoter mais ses leçons remontaient à quelques années. Et puis l’envie m’est revenue en discutant tricot avec Jenny, au boulot. Elle m’avait promis une écharpe tricotée main puis m’a mise au défi de la faire moi-même. J’ai commencé par celle d’Eneki, puis en ai bricolé une pour moi. Résultat peu encourageant, je vous l’accorde, mais Eneki était trop petit pour parler et me donner son avis ; quant à moi, je n’ai jamais porté celle que j’avais mis tant de temps à monter. Finalement, je me suis lancée dans la confection de bonnets, écharpes, et même petits gilets. Mais ça, c’est une autre histoire. Photos à l’appui pour vous montrer mes progrès dès que je retrouve des archives !
Il n’y a pas qu’un château, à Versailles
Ce week-end, samedi 16 et dimanche 17 octobre, les artistes ouvrent les portes de leur atelier à Versailles et accueillent ces deux jours promeneurs curieux, amateurs d’art, artistes en herbe et familles entières. Vous pourrez vous balader de l’un à l’autre, découvrir ainsi les jolis quartiers versaillais, des jardins perdus, des bâtiments incongrus, et avoir le plaisir de regarder et discuter peinture, sculpture, photographie, gravure et peut-être même découvrir de nouvelles techniques. Destinés à tout public, ces parcours dans Versailles sont l’occasion de belles et enrichissantes promenades. Et pourquoi ne pas repartir avec un achat sous le bras ? Toutes les informations sont disponibles là.
T’es « cape » ?
En cette fin de semaine, enfin, une nouveauté : les capes de bain pour bébé ! En éponge écrue moelleuse et épaisse, elles sont bordées de biais et ont chacune leur personnalité : carreaux, fleurs, pois, plan de ville… Elles sont idéales pour une sortie de bain très douce et colorée. Il y en a évidemment pour tous les goûts, encore faut-il aimer se laver. Bientôt en vente dans la boutique de la Belette. Vous pouvez dire « adieu » à vos serviettes !
Ethic Market
Lentement, j’avance…
… et j’espère que vous ne perdez pas patience. Nouvelles toiles cirées, tissus dégotés au fin fond de placards et grandes armoires de campagne, patrons tout juste imaginés pour l’occasion donnent peu à peu forme à des capes de bain, des matelas à langer, des sous-main pour petits artistes peintres et des tabliers pour grands cuisiniers. La liste est longue, la machine tourne à perdre haleine, les bobines de fil s’épuisent, la couturière a les doigts qui piquent mais quelle frénésie !
Impressions d’automne
Soleil tiède d’été, couleurs chatoyantes de l’automne, crissements des pas sur le chemin de la forêt, odeur de feuilles humides dans les sous-bois, piquant des bogues de châtaignes, douceur des feuilles et des fruits trouvés par hasard, calme… dimanche paisible. Envie de broder sur les feuilles pour créer des oreillers et de coudre des baies pour en faire des colliers.
No comment
Tout petits bavoirs pour tout petits enfants
Difficile, ces jours, de vous montrer de nouvelles productions. J’avoue que je passe tout mon temps sur la (grosse) commande à livrer début novembre. J’ai même quelques angoisses : vais-je y arriver ? Il y a des moments où l’on aimerait avoir quatre bras et vingts doigts ! Mais le stress génère aussi de bonnes ondes et, cette fois, me permettra également de m’essayer à de nouvelles créations. En voici une, imaginée lors de la naissance de Cerise : le tout petit bavoir pour les premières tétées. Bientôt en vente ici et à Paris. Mais ça, c’est une autre histoire…
Polly in my pocket
Une fois n’est pas coutume, j’ai envie ce samedi de vous faire découvrir ce livre ravissant, emprunté par hasard à la médiathèque, ce matin, au rayon « Enfants ». Couverture désuète, tout petit format, couleurs un peu délavées… bref, j’ai été intriguée et n’ai pas été déçue une fois rentrée. Il s’agit des rêves et cauchemars de Polly, petite fille des années 1900. Elle a, en apparence, l’air des jeunes filles de bonne famille qui cousent, tricotent et jouent sagement avec le chat. Mais Polly est encore plus que ça. Son esprit s’échappe, ses gestes dérapent, elle est craquante. J’avoue que j’ai adoré, encore et surtout, ses robes à pois, les rideaux à fleurs et le mobilier d’époque. Vraiment, un agréable choc !