Lentement, j’avance…

… et j’espère que vous ne perdez pas patience. Nouvelles toiles cirées, tissus dégotés au fin fond de placards et grandes armoires de campagne, patrons tout juste imaginés pour l’occasion donnent peu à peu forme à des capes de bain, des matelas à langer, des sous-main pour petits artistes peintres et des tabliers pour grands cuisiniers. La liste est longue, la machine tourne à perdre haleine, les bobines de fil s’épuisent, la couturière a les doigts qui piquent mais quelle frénésie !

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