Bleu blanc rouge

Allez hop ! Deux posts en un cette semaine parce que vraiment, ces jours, je ne trouve ni le temps ni l’inspiration pour réaliser des bricoles et vous les montrer sur le blog. Fin de contrat, fin d’année, temps maussade, bref l’humeur est en berne et les idées aussi…  
Mais aujourd’hui, au détour d’un joli blog que je lis de temps en temps, j’ai eu le coup de coeur pour cette technique amusante et peu onéreuse qui permet de donner un peu de peps à une paire de sandales plutôt banales. En ce qui me concerne, j’avais envie de faire tenir cet été encore ma paire de sandales préférées, ternes, usées, fatiguées. Simplicité étonnante : une couche de vernis pour ongles sur tout le cuir auparavant nettoyé au dissolvant, et voilà mes petites Pare Gabia presque aussi jolies qu’il y a deux ans et demi !
Dans la foulée, je me suis motivée pour ranger ce bureau qui fait office de coin couture, espace d’édition, et accessoirement rangements divers et variés. Et j’ai retrouvé la petite blouse d’Aïnhoa commencée au printemps déjà… et jamais achevée. La faute au temps, encore une fois, je n’en ai plus et il fait même froid. Histoire de faire venir le soleil, je m’y atèle cette semaine. Elle pourra toujours la mettre en octobre, quand il fera trop chaud pour les cols.
Tiens, c’est en finissant ce post que je remarque le bleu-blanc-rouge des photos du jour ! J’ai pourtant loupé le défilé, c’était piscine et dessins animés en ce 14 juillet !

Chouette, alors !

C’est l’histoire de la chouette de Miss Aïnhoa qu’on se traîne partout depuis presque trois ans déjà. Sale en permanence, trouée, vieillie, elle commençait à vraiment ne plus ressembler à rien sinon à un vieux coussin abandonné. Et puis la semaine dernière, j’aperçois dans Marie Claire Idées le modèle d’une petite chouette à croquer ; tiens, elle pourrait bien remplacer l’autre, je la ferai plus petite, plus solide, plus jolie. Aussitôt dit, aussitôt fait, petite chouette est née. Quant à Aïnhoa, elle l’a tout de suite adoptée !
Pascale, tu reconnaîtras le tissu que tu m’avais envoyé ; si Miss Emilie veut la même, c’est tout à fait possible.
Dans la foulée, j’ai enfin ouvert mon paquet et commence à monter colliers et bracelets. A voir, donc, très vite sur le blog et la boutique.

Emilie

Des jours et des jours que le trousseau que la nouvelle petite Emilie est prêt… ne manque que le temps pour l’envoyer enfin à la maman (mais je promets de le faire cette semaine) ! La Belette se lance encore plus dans le sur-mesure avec cet ensemble cape de bain et matelas à langer puisque j’ai reçu la commande et le tissu de ma chère cliente en même temps. Il sera donc parfaitement assorti à la chambre du bébé. Matelas à langer et cape de bain sur commande en boutique.

Les 30 années de Miss G.

Il y a des étapes importantes dans la vie ; les 30 ans en font partie. Miss G. a soufflé ses bougies samedi soir en compagnie de tous ses amis et j’étais ravie d’être invitée moi aussi. Pour l’occasion, je lui avais cousu une petite pochette avec un coupon de tissu japonais un peu épais. Un joli bouton sur le ruban, et le tour est joué ! Happy BDay, Miss G.

Bavoir brodé

Des semaines que je passe à écrire et corriger des textes… et que j’ai bien du mal à trouver du temps pour me remettre à mes aiguilles. Mais hier soir, oh miracle, j’ai pris une heure pour enfin réaliser un bavoir pour Mila. Et du coup imaginer par la même occasion un nouveau modèle : biais fantaisie, éponge toute douce et coeur brodé. Un bavoir 100% bio pour une petite fille que je me réjouis de rencontrer. Et sinon, le modèle, vous en pensez quoi : je le mets en boutique ou pas ?

Bavoirs du soir, espoir…

Une semaine sans bloguer, sans coudre ni même y penser… Au secours ! En cette fin de week-end, je parviens quand même à terminer le bavoir de James, un réassort en toile cirée et un petit format pour petit bébé. Ma commande de biais, fil et tissu éponge bio est enfin arrivée, il va donc falloir que je m’attelle à la nouvelle commande pour la Suisse : cape de bain et bavoirs divers et variés. Chouette, du travail forcé !

Vrac

Voici donc le vrac dont je vous avais parlé ! Cette petite chaise de bureau a connu de longues après-midis sous les fesses de Sara et Jérémie, deux bambins blonds comme les blés qui adoraient jouer « à faire comme les grands », et s’enthousiasmaient notamment pour le « travail de bureau ». Allez savoir pourquoi… Nous récupérions des formulaires divers, avec mon frère, que nous remplissions de signes illisibles au crayon. En terme d’entreprise, la Poste nous plaisait beaucoup ; je ne sais pas non plus pourquoi… Mais qu’est-ce qu’on en a profité ! Voilà donc pourquoi cette chaise était en bien mauvais état, plus de 25 ans après cette première utilisation. Je ne sais pas encore quels métiers feront fantasmer mes enfants, mais j’ai eu envie de redonner un coup de jeune à cette chaise : du rouge basque, déjà utilisé pour la trottinette, m’a semblé tout à fait adéquat pour lui faire prendre un nouveau départ !
Quant à la commode années 50 achetée quelques euros dans mon Emmaüs préféré, j’ai enfin réussi à l’installer chez nous. Elle est vraiment du goût de mon mari, presque autant que le petit fauteuil fleuri… il a donc fallu trouver compromis et négociations mais nous y sommes arrivés ! Et il m’aime beaucoup, c’est vrai.