Il ne s’appelle pas Valentin…

 

La Saint Valentin, c’est un peu comme la fête des grands-mères, on adore ou on déteste ! Je suis toujours surprise du buzz que ça crée dans les boutiques, étonnée que les messieurs puissent offrir des bijoux à cette occasion, moqueuse en voyant les ballotins de chocolats démesurément kitsch et franchement hystérique face aux menus des restaurants concoctés à cette occasion. Mais c’est peut-être parce que j’ai espéré, les premières années, une boîte de chocolats ou un bouquet de fleurs… Sans succès. Et puis finalement, la Saint Valentin, c’est devenu un peu n’importe quand, il fallait juste avoir envie de trouver le temps. Quand on est cinq, dans une famille, il y a suffisamment de dates à fêter et toutes, finalement, nous ramènent à l’être aimé : les anniversaires des enfants, les bricolages ramenés de l’école pour la fête des pères/mères, les années qu’on voit passer ensemble… Bref, la Saint Valentin n’est pas la seule date dans l’année pour dire à l’autre qu’il est aimé et c’est bien plus doux, parfois, quand ça ne tombe pas un 14 février !

Le langage des fleurs

Mon cher et tendre m’a offert un vase à Noël, mais de fleurs point… Ce n’est pas plus mal, je choisis ainsi chaque semaine le bouquet qui me plait. Jonquilles, renoncules et anémones sont mes préférées. Je recherche parfois dans ce joli livre aux pages dorées ce que veulent me raconter ces bouquets colorés. Mieux vaut ne pas savoir, parfois. Les fleurs ont un langage que le cœur ne comprend pas.

3 ans

Les années passent, et pour le blog de la Belette aussi, qui fête ses 3 ans aujourd’hui ! Presque 400 posts, des bricoles en laine, en tissu, tricotées, cousues ou customisées, de la récup quelques fois et encore des projets au fond de mes tiroirs. Merci à vous, chers lecteurs, fidèles et passionnés, mais aussi à vous, tombés sur le blog par errance ou par erreur, merci à ceux qui viennent une fois par mois ou tous les jours à la même heure. C’est surtout grâce à vous, à vos commentaires gentils et encourageants, que j’ai envie de continuer l’aventure, même si je manque souvent cruellement de temps. J’aime trop être une Belette !

Don Quichotte du Trocadéro

Don Quichotte du Trocadéro
Quand Don Quichotte ramène sa troupe au Trocadéro, l’ambiance est caliente et vraiment drôle ! La dernière création du génial José Montalvo est un pur moment de bonheur dansé, humoristique et musical. Les pointes y côtoient les baskets, le hip hop défie le ballet, les danseurs sont coachés par un boute-en-train de renom, la scène est animée de vidéos et la danse flirte tout du long avec les moulins et le métro. Si le Don Quichotte des temps modernes se bat toujours contre des moulins, c’est avec burlesque et brio. A voir absolument au Théâtre de Chaillot !
Crédit photo : Patrick Berger

Banlieue mon amour

La banlieue est toujours très loin pour le Parisien qui, lui, ne sait pas une fois sur deux que le RER roule dans les deux sens. Le banlieusard, lui, vient travailler à Paris cinq jours sur sept malgré les pannes de trains, les grèves du personnel et autres petits plaisirs quotidiens. C’est souvent galère, misère et tracas divers. Mais quand le week-end arrive, la banlieue revêt pourtant des atouts certains. Campagne en été, pistes de luge en hiver, elle est le lieu de plaisirs faciles et sains. Que la banlieue est belle, que la banlieue est loin…

Petits pois

Parce qu’il y a forcément un âge où ils font « Beurk ! » devant une assiette de petits pois, le meilleur moyen de leur faire aimer ça, c’est peut être de leur en donner à voir dès les premiers mois. Quoiqu’il en soit, ce joli bavoir parsemé de cosses bien vertes est pour Mahé. D’autres suivront parce que moi, vraiment, j’adore ça, les petits pois !

Le petit oiseau va sortir…

Attention, le petit oiseau va sortir ! On aurait tort, pourtant, de sortir d’une si jolie cage, décorée d’une pierre à facettes et d’une perle de rocaille colorée. Et puis, montée sur une chaîne, la cage devient collier et le petit oiseau le passager des nombreuses balades qu’offre le cou d’une jeune femme. Pas sûr que le volatile chante son ravissement mais n’en demandons pas trop quand même ! Avis aux amatrices de colliers, de cages presque dorées ou d’oiseau sage comme une image, les colliers sont en vente en boutique