Le Blouson Balenciaga

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La machine à coudre a pris la poussière ces derniers temps mais c’était sans compter sur ce regain d’énergie ce we ! Deux coupons de tissus récupérés chez une amie + deux après-midis + mettre tout le reste de côté = le blouson Balenciaga again, en mode automne cette fois. J’avais ce lainage (vert/noir, pas hyper fun mais assez chaud) et cette doublure (hyper fun, carrément vintage) qui prenaient de la place dans mes étagères. Après avoir testé la version Bleu de travail et j’ai eu envie de refaire le modèle Balenciaga trouvé dans un numéro de Burda Vintage. L’avantage, une fois que les pièces de patron papier ont été coupées, et que le modèle a déjà été testé, c’est que ça va tout seul ! L’affaire était bouclée en quatre heures. Le pic d’euphorie au max. La classe en bonus !

L’agenda de rentrée

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Septembre est presque terminé et je n’ai pas encore eu le temps de poster mon traditionnel petit agenda de rentrée. Il faut dire que j’utilise (malheureusement) de plus en plus mon agenda électronique pour caler rendez-vous professionnels et obligations ou événements familiaux ; ce sont alors des calendriers partagés à tous coins du téléphone et on s’y perd, de peur de perdre quelque chose… J’aime tout de même utiliser un agenda papier pour rentrer les choses à venir et celles qui sont passées. J’y note aussi les anniversaires, ceux que Facebook ne me livrera pas. Et j’adore feuilleter les agendas des années passées : j’y retrouve des souvenirs en pagaille.
Cette année, j’ai opté pour le tampon de Sardon, qu’on aimerait aussi tamponner sur des tee-shirts et des murs entiers. Des copeaux d’or Pébéo ont fini le boulot. C’était plus radical, cette année, la déco 😉

Ananas, sensitive, succulentes

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Il n’est plus besoin de vous parler de ma passion plantes « et surtout succulentes« . Le soleil m’a donné envie de tout sortir et de tout rempoter. Sauf que je n’ai pas toujours la main verte, et qu’il me faut donc parfois rééquilibrer les pertes. Difficile de ressortir du magasin, cette fois, sans un joli pot pour planter mon ananas. La plante « sensitive » qui se rétracte quand on l’effleure, c’est bonus ! Ça change des cactus !

Retour en Grèce

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Comme tous les ans, c’est en Grèce que nous nous ressourçons chaque été. Cette année, nous avons fait escale à Athènes pour visiter l’Acropole et son musée. Nous avions trouvé un appartement à la déco vintage tout près du monument via Airbnb. Au top ! C’est agréable de rentrer le soir dans un lieu habité et empreint d’une vraie personnalité. Les quartiers de Plaka et Monastiraki, pourtant très touristiques, commençaient déjà à se vider, fin août, et nous ont semblé très agréables pour dîner, le soir. Puis direction l’île de Sifnos. Baignades, randonnées, tavernes et lecture, c’est le programme idéal sur cette merveilleuse petite île, réputée pour ses sentiers de randonnées et ses potiers. La seule originalité de notre séjour, cette fois, a été l’excursion jusqu’à la magnifique baie de Fykiada : nous avons marché près de 4h pour nous baigner dans une petite crique sauvage d’une grande beauté. Sinon, de l’avis familial général : surtout ne rien changer au rythme immuable… Nous avons nos adresses et nos habitudes, nos tavernes et nos Grecs préférés, avec mention spéciale pour Yannis le boulanger.

Tawashis, mode d’emploi

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Alors les Tawashis, késaco ? Ce sont de petites éponges que l’on tricote ou que l’on crochète. C’est, semble-t-il, une excellente alternative à l’éponge que l’on achète, d’autant que celles-ci passent en machine à laver sans problème. J’ai crocheté les miennes en tâtonnant, à partir de fil trapilho, ce gros fil en jersey de coton. Avec un crochet 15, j’ai monté une chaîne de 8 mailles, puis réalisé des mailles serrées en faisant une maille en l’air en début de chaque rang. Ceci sur 8 rangs. Une boucle pour accrocher l’éponge au crochet de l’évier, et le tour est joué ! Il faut ensuite s’habituer à délaisser l’autre éponge, et sur ce point, je n’ai pas encore beaucoup avancé ^^

Carambolage de contes, une exposition recup’

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Il a fallu une année pour que notre joyeuse équipe du mercredi soir parvienne à ce petit exploit : réaliser et mettre en place une exposition ! Il fallait un fil rouge : les contes. Il fallait un style : la récup’. Il fallait de la persévérance : nous en avions (et certaines plus d’inspiration que d’autres). Cette exposition revisite donc essentiellement les contes de Perrault version rock/trash/fils/sacs en plastique. Les pièces photographiées ci-dessus sont des oeuvres, entre autres couturières, d’Anne-Marie, Célia, Fred, Catherine et la Belette. Il reste quelques jours pour la voir « en vraie » à l’espace du Val de Gif, dans le quartier de l’Abbaye (Gif-sur-Yvette).

Les GROS muffins aux pépites de chocolat

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Comme une envie de mega-super-gros muffins, un peu comme ceux qu’on trouve dans les Star***s mais qui, une fois en bouche, sont quand même un peu lourds. Après avoir cherché moultes recettes sur le net, j’ai jeté mon dévolu sur celle de Valérie, qui propose les fameux muffins à la myrtille. Comme je n’aime pas beaucoup suivre les recettes à la lettre, mais surtout parce que je n’avais pas de myrtilles dans mes placards, je n’ai pas pu m’empêcher de la re-visiter à mon goût. Le petit plus super top, c’est le crumble on the top, qui croustille un peu ; je l’ai gardé. Nous disions donc :

Pour 6 gros muffins + 6 petits
Pour le crumble
30 g de farine
2 cuillères à soupe de cassonade
20 g de beurre froid coupé en morceaux

Mélanger la farine et le sucre puis ajouter le beurre froid coupé en petits morceaux et malaxer du bout des doigts jusqu’à obtenir une consistance sableuse. Mettre de côté.

Pour les muffins
100 g de beurre à température ambiante
150 g de sucre en poudre
2 œufs
300 g de farine
60 g de flocons d’avoine
1 grosse pincée de vanille en poudre
1 sachet de levure chimique
1 grosse pincée de sel
250 ml de lait
100 g de pépites de chocolat

Faire chauffer le four à 180°.
Mélanger le beurre mou au sucre, ajouter les oeufs. Dans un autre récipient, mélanger la farine et la levure, les flocons d’avoine, la vanille, le sel et les pépites de chocolat. Ajouter le mélange sec au mélange « beurre-sucre-oeufs » en alternance avec le lait. Remplir les moules jusqu’en haut. Saupoudrer du crumble, ajouter deux trois grosses pépites de chocolat sur le dessus. Enfourner 20 minutes pour les petits muffins et 25 minutes pour les gros. Ne démouler qu’une fois refroidi.

Testés et approuvés par ici…

Les biscuits « Granola » maison

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Le temps froid et humide de ce dernier dimanche de janvier était parfait pour tester une nouvelle recette de biscuits. J’ai trouvé par hasard une liste de 13 goûters régressifs à cuisiner dans une newsletter de Marie Claire Idées. Et même s’il a été difficile de faire un choix, c’est la recette des Granola maison qui a emporté les suffrages… de l’Amoureux, qui voue un culte aux biscuits de ses années collège-lycée. Je n’ai pas réussi à les faire aussi jolis que « Maman ça déborde », mais, à l’unanimité, ils étaient au top ! Et pour ne pas en mettre partout, demain, dans la boîte à goûter, je les ai collés deux par deux. Des BN revisités, en somme. Re-miammiam, à n’en pas douter !

Le Arm knitting, vous connaissez ?

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Le « Arm Knitting » plus connu en France sous le nom de « tricot avec les bras », permet de réaliser en deux temps-trois mouvements d’énormes plaids, écharpes/cols ou autres doudous indispensables pour affronter le froid et donner une ambiance cocooning ET stylée à son intérieur ! Afin de réaliser les pièces les plus fastoches et les plus dingues à la fois, Seize propose des ateliers de trois heures pour initier les tricot addicts et débutants à cette nouvelle technique qui fait fureur sur la toile depuis plusieurs semaines ! Armée d’une pelote d’un kilo (!), 100% mérinos, et de ses deux bras en guise d’aiguilles, chacune s’attèlera à la réalisation de sa couverture d’intérieur dans une ambiance qui, en plus d’être conviviale, promet d’être assez comique !
Seize, nouveau temple du « Do It Yourself », a ouvert depuis octobre 2016 au cœur du quartier d’Oberkampf. On s’y retrouve à n’importe quel moment de la journée, principalement autour d’une activité manuelle, créative et ludique, pour décompresser, apprendre, rire et faire de nouvelles rencontres. Seize est aussi une boutique qui propose une sélection inédite de créateurs dont le seul crédo est de tout faire main, avec passion. On aime !
Je ne me fais jamais le relais de communiqués de presse, et j’en reçois pourtant souvent. Mais là, j’avoue que j’ai craqué pour cette magnifique photographie car je suis fan absolue de très grosse laine et assez curieuse de cette nouvelle technique. Je transmets donc avec plaisir ce nouveau spot à tricot. J’ai, de mon côté, cherché des boutiques pour acheter de tels écheveaux, sans succès ; alors si vous avez des adresses, je suis preneuse.

80€ l’atelier de 3 heures, matériel inclus et goûter offert. C’est certain, ça fait un petit budget, mais vu le prix de la laine, c’est pas si dingue. Toutes les infos sur www.seizeparis.com.